Pleins feux sur les volontaires de l’éducation du ROPE : Henry Starzynski
Le programme Bénévoles dans l’éducation du Réseau d’Ottawa pour l’éducation a le privilège de pouvoir compter sur certains des meilleurs bénévoles en ville. Nous avons la chance incroyable d’être appuyés par une équipe diversifiée de bénévoles pleins de sollicitude et de compassion. La variété de leurs antécédents et de leurs compétences enrichit leur travail auprès des élèves et des enseignants de l’OCDSB. Nous aimerions vous présenter l’une de ces bénévoles, dont la passion est d’améliorer les compétences en mathématiques des élèves qu’il accompagne. Nous sommes heureux de vous présenter Henry Starzynski.
- Parlez-nous un peu de vous.
Je suis bénévole au ROPE. J’aide des élèves de 6e année dans leur cours de mathématiques. Alors, j’ai une question pour vous!
- J’ai vu passer 8 décennies
- J’ai fêté mon anniversaire cette année.
- J’ai au moins quel âge? (Réponse ci-dessous 🙂 )
Je suis né à Oshawa, j’ai obtenu un baccalauréat spécialisé en mathématiques (sciences informatiques) de l’Université de Waterloo. J’ai déménagé à Ottawa en 1984 pour travailler à Bell Canada et j’ai fini ma carrière là-bas. J’ai pris ma retraite en 2017. Comme dans n’importe quelle grande organisation, j’ai vécu des choses super et d’autres que je préfère oublier. Une petite anecdote pour vous dire comment les maths m’ont servi à régler un gros problème au travail! J’étais responsable de nos réseaux de données. Un jour, des commutateurs ont commencé à tomber en panne sur mon réseau. C’était un mystère. Nous avions le soutien technique et le fournisseur. Personne n’arrivait à comprendre ce qui se passait. Après environ 6 heures, j’ai entré quelques chiffres dans une feuille de calcul et j’ai annoncé à la centaine de personnes présentes que j’avais la réponse aux pannes : tous les commutateurs défaillants avaient été redémarrés 776 secondes auparavant. Le fournisseur s’est moqué de moi. J’avais raison. Ne doutez jamais du pouvoir des mathématiques.
Ma plus grande passion est le cyclisme. Je pense qu’au cours de ma carrière professionnelle, pour laquelle je me déplaçais principalement à vélo, j’ai parcouru plus de 100 000 km pendant 33 ans. Je préfère faire du vélo.
Mes autres passions sont la cuisine et le jardinage.
Je suis marié avec Lee Ann (également titulaire d’un diplôme en mathématiques de l’Université de Waterloo, mais on ne s’est pas rencontré à l’université), et nous avons deux enfants – aucun des deux ne s’est lancé dans une carrière en mathématiques!
2. Qu’est-ce qui vous a décidé à faire du bénévolat dans le cadre du programme Bénévoles en éducation?
L’une des choses que j’ai faites lorsque je travaillais chez Bell fut de donner un cours à des étudiants de quatrième année en génie, à l’Université Carleton. Quand j’ai pris ma retraite, j’ai déjeuné avec le professeur actuel et l’ancien professeur. L’ancien professeur, David Falconer, m’a dit à quel point il aimait faire du tutorat dans les écoles. Eh bien! Cela me semblait être quelque chose qui pourrait m’intéresser. En prime, je n’aurais pas à être responsable de la classe.
3. Quelle est votre philosophie personnelle de la vie?
Apporter quelque chose de positif au monde.
4. Si vous aviez une machine à voyager dans le temps, en quelle année iriez-vous et pourquoi?
J’irai dans le futur, en 2038. Les informaticiens devraient comprendre pourquoi.
Dans le passé, en l’an 1000 après Jésus-Christ. Vraiment, qui ne voudrait pas avoir été un Viking?
5. Pendant 24 heures, vous pouvez vous approprier le mérite d’une œuvre d’art, d’une chanson, d’un film, d’un livre, etc. Laquelle réclameriez-vous?
Chanson – If I had a Rocket Launcher (Bruce Cockburn)
6. Quel est votre joyau caché préféré à Ottawa?
Hmm… J’ai un faible pour les boulangeries. La Maison du Kouign-Amann, à Kanata, est extraordinaire. Je dirais qu’elle est à égalité avec Fletcher Wildlife Gardens.
7. Quelle a été la plus grande leçon que vous avez apprise l’année dernière, et qu’est-ce que cela vous a appris sur vous-même?
Je suis tenté de dire « assurez-vous d’avoir toujours suffisamment de papier hygiénique à la maison ». Sérieusement, pour moi, la plus grande leçon a été d’être adaptable et patient.
Je suis né en juillet 1959. J’ai vu les années 1950, 1960, 1970, 1980, 1990, 2000, 2010 et maintenant 2020. J’ai 62 ans.