Pleins feux sur les volontaires de l’éducation du ROPE : Karen Ho
Cette semaine, l’ROPE célèbre la semaine nationale du bénévolat en mettant en lumière certains des bénévoles qui font bouger les choses dans notre communauté.
1. Parlez-nous un peu de vous…
Je suis en quatrième année de psychologie à l’Université d’Ottawa. Je suis native de Toronto, en Ontario. Dans mes temps libres, j’aime faire du bénévolat pour le conseil scolaire ou des organismes sans but lucratif en santé mentale. J’aime participer à des clubs scolaires. Par exemple, je suis membre exécutif de la Students for Mental Health Awarenes Society et de Tedx uOttawa sur le campus. En dehors de ma passion pour le bénévolat et le travail avec les enfants, j’aime les activités de plein air comme la randonnée et le ski, que je pratique avec mes amis et ma famille.
2. Qu’est-ce qui vous a décidé à faire du bénévolat dans le cadre du programme Bénévoles dans l’éducation?
Je voulais donner de mon temps à Bénévoles dans l’éducation, car j’espère faire des études d’enseignante après mon diplôme de premier cycle, ce printemps. J’aime aussi travailler avec les enfants et, depuis ma deuxième année d’université, je fais du bénévolat dans le cadre du programme d’éducation.
3. Quelle est votre philosophie de vie?
Ma philosophie personnelle est la suivante : « La vie consiste à résoudre des problèmes, et chaque obstacle est une occasion d’avancer. »
4. Si vous aviez une machine à remonter le temps, en quelle année iriez-vous et pourquoi?
J’irais dans les années 1920, car j’aime la mode de l’époque, la musique s’est transformée et la société était effervescente sur le plan artistique. Cette période de notre histoire a ouvert des portes aux générations qui ont suivi. Pendant les « Années folles », les gens défiaient la prohibition, réinventaient la danse et la mode. La prospérité gagnait du terrain dans les villes et il y avait d’importants changements sociaux.
5. Supposons que pendant 24 heures, vous pouvez vous approprier le mérite de n’importe quelle œuvre d’art – chanson, film, livre, etc. – laquelle choisiriez-vous?
Je choisirais le livre « Mange, prie, aime ». Il s’agit des chroniques du voyage autour du monde fait par l’autrice et de ce que ce périple lui a révélé sur elle-même. Ma partie préférée, c’est lorsqu’elle se consacre à l’exploration de sa spiritualité pendant quatre mois. Cet ouvrage nous enseigne à être responsables de notre propre bonheur et à ne pas tenter d’imiter les modèles que la société idéalise.
6. Quelle est votre perle rare préférée à Ottawa?
Ma perle rare est La taverne sur la colline, qui surplombe la Colline du Parlement. C’est très beau en été, quand les lumières de la terrasse sont allumées.
7. Quelle a été la plus grande leçon de l’année qui vient de passer et qu’est-ce que cela vous a appris sur vous-même?
J’ai appris à m’adapter aux études en ligne, ce qui était extrêmement difficile au début, car j’avais du mal à m’intéresser à des cours préenregistrés. J’ai appris à me motiver moi-même et à mieux gérer mon temps, ce qui m’a aidé dans mes études ce semestre.